mardi 2 avril 2019

Suis-je prête?

Après quelques années en couple, le jeune homme avec qui j’étais m’a demandé en mariage. Évidemment,  j’avais dit oui. La joie rayonnait sur mon visage!  Objectif de la bague au doigt : Mission accomplie. Je me paradais avec fierté en montrant celle-ci à qui voulait. Elle était  si belle. Une bague ornée de 3 diamants représentant la trilogie du couple; soit le passé, le présent et le futur.

 J'avais changé ma photo de profil sur les réseaux sociaux pour celle de ce merveilleux bijou. Inconsciemment, je cherchais à me convaincre que mon bonheur était dans cet anneau d’or autour de mon annulaire.  Je me sentais validé par mes amis virtuels du moment qu'ils cliquaient sur "j'aime ". J'accordai plus d'importance à ce petit objet brillant qu'au pourquoi j'avais vraiment dit oui. 

J'aimais ce jeune homme, mais étais-je prête à assumer les responsabilités qui s'en suivraient ?

Je ne te cacherai pas qu'à cette époque... bien que je croyais le savoir,  je n'avais aucune idée de  ce que j'aimais et n'aimais pas. Qui étais-je?  Quelle était la mission que Dieu réservait pour ma vie personnelle /ministérielle et celle de mon couple? 

Après une courte période de conte de fées, la réalité me frappa durement. 
Il voulait plus être avec moi... je t'épargne des détails.

Je ne peux rester sans te partager que je n'avais jamais autant prié  le Seigneur pour un témoignage. Dans sa fidélité,  Il m'a exaucé. Je priais que nous retournions ensemble, mais Dieu avait un meilleur plan. J'ai lâché prise et donné à Dieu le contrôle de ma vie.  Je peux te dire que mon témoignage se résume en 3 choses :

  • J'ai maintenant la paix que Jésus-Christ seul donne (Jean 14:27).
  • Je suis une femme bénie, heureuse et comblée (Psaumes 144 :15)
  • Je connais maintenant mon identité (Galates 2:20).

 
Maintenant que tu as lu ces quelques lignes de mon passé, voici ce que j'aimerais que tu saches : la belle robe, le cortège,  la bague, la merveilleuse journée de mariage ne représentent qu'un pour cent de ce qui t'attend réellement. Si tu ne laisses pas Dieu prendre le plein contrôle de ton être,  ton mariage de rêve est quasiment voué à l'échec.  Christ doit être la fondation de toute chose... celle de ta vie premièrement.  (Psaumes 127:1)Ne cherche pas à plaire un homme, mais à ton créateur (Galates 1:10). ... Il est le seul qui voit ce que tu caches derrière ce beau sourire que tu as. Ne t'inquiète pas, il sait ce que tu veux, ce que tu aimes et ce à quoi tu aspires. 
Cherche d'abord sa face (Matthieu 6:33)

J’aimerais que tu te poses ces 3 questions et que tu prennes le temps de réfléchir et développer tes réponses :

  • Qui suis-je et quelle est ma mission sur terre?
  • Est-ce que je cherche à plaire aux autres d'une certaine façon avant de plaire à Dieu ? 
  • Est-ce que j'accepterais de ne jamais être mariée  et quand même être heureuse?

Si tu as répondu à une de ces questions par: -NON! - JE NE SAIS PAS! -JE PENSE! 


Je t'encourage à prendre le temps de découvrir quelle perle distinguée tu es réellement.

Aucun homme  ne pourra te définir et aucun bijou de valeur ne te valorisera si tu ne sais qui tu es.

Je t'aime et je prie que tu sois toujours distinguée. 


Mélissa Jean-Simon alias Maylee Sa


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lundi 1 avril 2019

Le fruit de l'Esprit

Galates 5.22-23 : Mais le fruit de l'Esprit, c'est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance; la loi n'est pas contre ces choses.

Ce verset s'applique à l'église. Je vous rappelle que l'église c'est la somme de tous les chrétiens vivant à la lumière de l'Évangile. Lorsque vous mettez votre confiance en Jésus-Christ en tant que votre Seigneur et Sauveur, vous recevez le Saint-Esprit. Une question peut donc surgir: quel caractère l'église doit-elle refléter dans son milieu? La réponse est celle-ci : honorer le Seigneur Jésus-Christ. Pour la simple et unique raison que l'honneur envers Jésus, permet au Saint-Esprit de produire ce fruit en nous. Il n'y a qu'un seul Esprit, mais il y a neuf attributs de Lui qui sont évidents dans la vie d'un croyant. Ainsi, le Saint-Esprit travaillera dans nos vies jusqu'à la fin des temps pour nous conformer à l'image de Christ.


Bertholi G.Gaspard

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jeudi 19 janvier 2017

La maladie fait-elle partie de la volonté de Dieu pour les croyants ?

Question : « La maladie fait-elle partie de la volonté de Dieu pour les croyants ? » 


Réponse : 
La doctrine biblique de la souveraineté de Dieu affirme que Dieu est tout-puissant et contrôle entièrement toutes choses, passées, présentes et futures, et que rien n’arrive qui soit hors de sa juridiction. Il engendre ou laisse se produire tout ce qui arrive. Mais il y a une différence entre engendrer quelque chose et permettre que cela se produise. Par exemple, Dieu a créé Adam et Ève parfaits et sans péché, puis il a permis qu’ils se rebellent contre lui. Il ne les a pas entraînés à pécher et il aurait certainement pu les en empêcher, mais il a choisi de ne pas le faire pour accomplir ses desseins et son plan parfait. Cette rébellion a entraîné toutes sortes de maux, que Dieu n’a pas causés, mais qu’il permet. 

La maladie est la manifestation de deux grandes catégories de maux : le mal moral et le mal naturel. Le mal moral c’est le manque de compassion de l’homme envers l’homme. Le mal naturel est composé de choses comme les catastrophes naturelles et les maladies physiques. Le mal naturel lui-même est la perversion ou la corruption d’une chose bonne à l’origine, mais à présent incomplète. Dans le cas de la maladie, il s’agit d’une santé incomplète. Le terme grec pour mal, ponerous, implique en fait une anomalie qui corrompt un état de bonne santé. 

Lorsque Adam a péché, il a condamné l’humanité entière à subir les conséquences de son péché, dont la maladie fait partie. Romains 8.20-22 nous dit : « En effet, la création a été soumise à l’inconsistance, non de son propre gré, mais à cause de celui qui l’y a soumise. Toutefois, elle a l’espérance d’être elle aussi libérée de l’esclavage de la corruption pour prendre part à la glorieuse liberté des enfants de Dieu. Or nous savons que, jusqu’à maintenant, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l’accouchement. » Dieu, qui a « soumis » la création à l’inconsistance après la chute de l’homme, a un plan pour la libérer de l’esclavage du péché, de même qu’il nous en libère par Christ. 

En attendant ce jour, Dieu utilise la maladie et autres maux pour accomplir ses desseins souverains, se glorifier et exalter son saint nom. Parfois, il guérit des malades miraculeusement. Jésus a parcouru Israël en guérissant toutes sortes de maladies et d’infirmités (Matthieu 4.23) et en ressuscitant même Lazare, qui était mort d’une maladie. Dans d’autres circonstances, Dieu s’est servi de la maladie comme d’un moyen de discipline ou de jugement contre le péché. Dans l’Ancien Testament, le roi Ozias fut frappé de lèpre (2 Chroniques 26.19-20). Dieu a rendu Nebucadnetsar fou jusqu’à ce qu’il comprenne que « le Très-Haut domine sur toute royauté humaine. » (Daniel 4) Hérode fut frappé et mourut mangé par les vers parce qu’il s’était attribué la gloire de Dieu (Actes 12.21-23). Il y a au moins un cas dans lequel Dieu a permis l’infirmité (d’un aveugle), non comme un châtiment du péché, mais afin de se révéler et de manifester sa puissance (Jean 9.1-3). 

La maladie n’est pas toujours la conséquence de l’intervention directe de Dieu dans nos vies, mais elle peut provenir de ce monde déchu, de nos corps déchus, ainsi que de mauvais choix de vie et de santé. Bien que les Écritures indiquent que Dieu veut que nous soyons en bonne santé (3 Jean 2), il permet toutes les maladies et infirmités afin d’accomplir ses desseins, que nous les comprenions ou non. 

La maladie est certainement la conséquence de la chute de l’homme dans le péché, mais Dieu reste aux commandes et impose des limites au mal (comme il l’a fait quand Satan a éprouvé Job, en lui interdisant d’aller au-delà de ces limites). La Bible parle de sa toute-puissance à plus de cinquante reprises et il est remarquable de voir comment sa souveraineté s’associe à nos propres choix (bons ou mauvais) pour accomplir son plan parfait (Romains 8.28). 

Pour les croyants qui souffrent de maladies ou d’infirmités dans cette vie, la certitude que Dieu est glorifié à travers leur souffrance adoucit l’incertitude quant aux raisons pour lesquelles il la permet, qu’ils ne comprendront peut-être pas pleinement jusqu’au jour où ils se tiendront en sa présence pour l’éternité. À ce moment-là, toutes nos questions trouveront une réponse, ou peut-être, plutôt, nous ne nous les poserons plus. 


Auteur : S. Michael Houdmann
Source :  Gotquestions.org

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dimanche 30 octobre 2016

Le renouveau spirituel

Renouveau signifie littéralement une recrudescence, regain, voire une renaissance. Nous avons besoin d’un renouveau spirituel plus particulièrement au Québec. Le Québec a connu ce genre de réveil dans les années 70-80. Il y a eu plusieurs réveils spirituels dans l’histoire chrétienne. À ce que l’on sache, au fil des siècles, le peuple de Dieu est passé par des cycles où Sa Parole a été négligée et elle a connu la condition spirituelle de son peuple détérioré. Par contre, dans sa grâce, Dieu envoie le renouveau spirituel. Inévitablement, l'une des principales marques de ce renouveau est un accent renouvelé sur la Parole de Dieu. Ainsi, cette Parole nous enseigne la repentance. En effet, nous devons choisir de prier pour le réveil en obéissant au Seigneur; nous devons prier pour la repentance. Si nous voyons le renouveau spirituel comme le sceau d'approbation de Dieu sur notre statu quo chrétien, nous ne pouvons pas désirer la réponse que Dieu veut nous donner.

Or, le réveil commence par notre propre cœur, de telle sorte que le Seigneur nous utilisera pour le réveil. Ainsi, les individus, qui composent l’église, doivent se réveiller d'une part. D'autre part, si nous prenons le temps d’analyser les périodes des mouvements des réveils précédents, prenez note que les chrétiens se caractérisaient par un esprit inhabituel de la répression, la confession du péché et de la prière. La résultante de ces sentiments est un désir ardent d’être mise à part pour le Christ et le souci des âmes perdues. Je crois que ces genres d’attitude prévalent aujourd’hui. Nous ne voulons pas vivre une tendance intermittente, mais un mouvement persistant!

Ainsi donc, il faut se rappeler que le renouveau spirituel est un acte autocratique, œuvre surnaturelle du Seigneur. À mon humble avis, le renouveau ne ressemblera pas à ce qui s’est produit autrefois, peut-être…Mais, ce mouvement sera nouveau et cela aura une incidence sur la façon dont nous devrions nous orienter.

Rédigé par Bertholi G.Gaspard
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