Ministère Resurexion

dimanche 10 juillet 2016

Notre Dieu se lève!

Psaumes 68.1 : "Dieu se lève, ses ennemis se dispersent, Et ses adversaires fuient devant sa face."

Ce Psaume, qui célèbre le règne de Dieu, pourrait se résumer en 3-D:

· Domination de notre
· Dieu Destruction des ennemis
· Délivrance de son peuple

Que tu sois devant la mer Rouge, Jéricho ou Goliath, sache que Dieu se lève pour toi. Peu importe ta situation, ta maladie, tes soucis, les tempêtes et attaques que tu vis ou endures, Dieu se lève dans ta vie. Crois seulement! Laisse-Lui les commandes et Il te fera traverser.

De tes yeux tu regarderas et tu verras la destruction de tes ennemis. Il donnera l'Égypte pour ta rançon, des hommes à ta place... (Ésaïe 43.3-4)
Donc, même si la visibilité est zéro, notre Dieu se lève...et en Jésus-Christ, nous rend plus que vainqueurs!

Comme dit si bien le chant, interprété par la chorale ICC: "Fini le temps de reculer Sur les assauts de l’adversaire, Le temps de fuir et de trembler, De faire marche arrière, Dieu se lève Ses ennemis s’enfuient, Dieu se lève sur le pays, Oh oh Dieu se lève , Son règne est établi "Chers amis, que Dieu puisse se lever sur ta vie, sur ma vie, sur notre famille, nos amis, notre pays... au nom Puissant de Jésus, amen!

Pasteur Harold Bourgeau

TENSION AUX ÉTATS-UNIS, IL Y A UN ENNEMI!

À la lumière de toutes ces tensions socio-économiques, politiques, culturelles et raciales, n'oublions pas que nous avons un ennemi, le diable, qui travaille fort à créer ce chaos orchestré et nous pousser à utiliser des armes qui ne sont pas efficaces, à alimenter la haine et la division qui règnent déjà dans le monde.

N'oublions pas que nous ne combattons pas contre la chair et le sang, contre une institution, une nation, une couleur de peau ou un mouvement, mais bien contre des esprits qui dominent les mentalités d'un monde sous l'empire du péché.

N'oublions pas que le monde a rejeté et accusé Dieu, et que le salaire de l'iniquité se récolte amèrement. L'Homme a fait de ce monde ce qu'il voulait.

N'oublions pas que nous sommes une nation sainte, que notre identité ne vient pas de notre couleur de peau, langue, culture ou pays, mais bien de celui qui a mis Sa bannière sur nous.

Soyons avant tout des patriotiques célestes, des défenseurs du Royaume, militant pour la cause de Christ.

Un s'est déjà donné pour l'humanité, afin qu'en Lui tous puissent parvenir au salut. En Lui nous sommes devenus un seul; car il n'y a ni homme, ni femme, ni juif ni grec, ni barbare ni Scythe.

Bien que nos cœurs soient vivement touchés et attristés par les événements qui troublent notre génération et nos communautés, soyons conscients de notre mandat et de la puissance que Dieu a mis à notre disposition: nous sommes des ambassadeurs appelés à exhorter tout homme en tout lieu à se réconcilier avec Dieu, ayant en notre bouche la puissance de Dieu qui est l'Évangile.

Ne soyons pas distraits et ne tombons pas dans les débats, les critiques et les jugements, sachant que la solution ne viendra pas de nos sit-in, nos protestations, nos politiques ou nos manifs.

La prière et l'évangile ensemble peuvent faire tomber les murailles, en posant des actions qui feront la différence.

La mentalité doit être transformée par la vérité, la lumière est la seule arme contre les ténèbres.

Nous pouvons prier la venue pour un autre Martin Luther King ou autre révolutionnaire, mais la solution est que chacun puisse révolutionner sa famille, son quartier, sa municipalité, son pays, son ethnie, par des gestes concrets, par la prière, par la prédication.

Soyons conscients des temps dans lesquels nous vivons, car ils ont été prédits dans la bible.

C'est une opportunité pour nous de briller et de faire taire les mauvaises nouvelles en propageant la bonne nouvelle du Royaume.

Que l'Église se lève et soit une référence et un modèle, à savoir comment devons-nous réagir. Ne suivons pas les voies du monde.

Que chaque enfant de Dieu se positionne dans le ministère que le Seigneur lui a confié, là où tu es, fais la différence, pour changer les vies et transformer les mentalités. Notre combat est spirituel, le réveil peut commencer par toi.

Pasteur Kitamball Mafu

lundi 6 juin 2016

GOOD LEADERSHIP GOES THROUGH LOVE.

GOOD LEADERSHIP GOES THROUGH LOVE

«Greater love hath no man than this, that a man lay down his life for his friends...» John 15: 13

Good leadership is essential in the growth of all organizations. Whether within a government, agency, at work or in a church. A good leader will build and build a strong and effective organization. Beyond this organization, the leader works primarily with people. I learned over time that people rarely leave an organization ... but some people!

To work with people, there is an element that a good leader must absolutely possess: love. The love for those they work with. Christ, who is the ultimate model of leadership, embodied the fruit of the spirit. "No one has greater love than to lay down one's life for his friends." John 15: 13. Being a leader is first offering oneself as gift to those we drive. Giving oneself in order to contribute to the welfare, to the growth and to the advancement of those who follow us. It is through love that did Christ everything for us and accepted the most shameful death.

David before he became king, was a shepherd and had to take care of his father's sheep. And what could drive a young man to risk his life to save a sheep? The love for his flock. (See 1 Samuel 17: 31-36). When David says in Psalm 23: "The Lord is my shepherd, I shall not want ..." He knows what he's talking, he was himself a shepherd and took care of love, that his flock lacks nothing. This is what Christ did for us and this is also what we need to do as ... shepherd.

How to recognize a leadership based on love? He will be patient, kindly, not envious, is not brag, does not swell with pride, will not rude, does not seek its own interests, does not irritate, hopes all things, endures all things According to 1 Corinthians 13: 4-7.

Taking care of someone takes love. Wanting the best for a person takes love. Being ready to give everything in order to see the growth of a person, again ... takes love. Beyond the background, experience, resources, talents that a leader can have, good leadership ...goes through love. "If I have the gift of prophecy, and understand all mysteries and all knowledge, and if I have utter faith, one that moves mountains, but have not love, I am nothing ..." 1 Corinthians 13.2.

Pastor Manuel Saul

samedi 14 mai 2016

Un bon leadership passe par l’amour.

Un bon leadership est essentiel dans la croissance de toutes organisations. Que ce soit au sein d’un gouvernement, d’un organisme, au travail ou encore dans une église. Un bon leader saura bâtir et ériger une organisation solide et efficace. Au-delà de cette organisation, le leader travaille avant tout avec des gens. J’ai appris avec le temps que les gens quittent rarement une organisation… mais plutôt des gens !

Pour travailler avec des gens, il y a un élément que doit absolument posséder un bon leader : l’amour. L’amour pour ceux avec qui il travaille. Christ, qui est le modèle par excellence de leadership, incarnait ce fruit de l’esprit. « Nul n’a d’amour plus grand que celui qui se dessaisit de sa vie pour ceux qu’il aime ». Jean 15 :13. Être un leader est d’abord de s’offrir en cadeau à ceux que nous conduisons. Se donner, afin de voir au bien-être, à la croissance et à l’avancement de ceux qui nous suivent. C’est par amour que Christ à tout fait pour nous et qu’il a accepté la mort la plus honteuse.

David, avant de devenir roi, était berger et devait prendre soin du troupeau de son père. Et qu’est-ce qui pouvait pousser un jeune homme à risquer sa vie pour sauver une brebis ? L’amour pour son troupeau. (Voir 1 Samuel 17 :31-36). Lorsque David dit dans le psaume 23 : « L’Éternel est mon berger, je ne manquerai de rien… » Il sait de quoi il parle, il était lui-même berger et veillait, par amour, à ce que son troupeau ne manque de rien. C’est ce que Christ fait pour nous et c’est aussi ce que nous devons faire en tant que… Berger.

Comment reconnaitre un leadership basé sur l’amour ? Il sera patient, plein de bonté, pas envieux, ne se vantera point, ne s’enflera pas d’orgueil, fera rien de malhonnête, ne cherchera pas son propre intérêt, ne s’irritera pas, excusera tout et supportera tout. Selon 1 Corinthiens 13 : 4-7.

Pour prendre soins de quelqu’un, il faut de l’amour. Pour vouloir le meilleur pour une personne, il faut de l’amour. Pour être prêt à tout donner, dans le but de voir la croissance d’une personne, encore une fois… il faut de l’amour. Au-delà du bagage, de l’expérience, des ressources, des talents que peut posséder un leader, un bon leadership… passe par l’amour. « Quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et de toute la connaissance, quand j’aurais la foi la plus totale, celle qui transporte les montagnes, s’il me manque l’amour, je ne suis rien. » 1 Corinthiens 13.2.

Pasteur Manuel Saul

vendredi 1 avril 2016

Être noir : une bénédiction ou une malédiction? Chapitre 3

Fort de cela, la question de savoir de quelle couleur était Jésus demeure très pertinente. Aucun texte biblique ne met en exergue un Jésus blanc ou noir alors que sa lignée montre que le peuple d’Israël a connu plusieurs métissages. Or, le concept de race qui présente des frontières très précise n’arrive pas vraiment à conceptualiser les phénomènes de métissage. Rappelons ici que les notions de couleur n’étaient pas significativement incluses dans l’environnement des auteurs de la Bible.

Cela n’a jamais été pertinent. Même Paul, confondu une fois avec un Égyptien révolté (Actes 21 :38), eut à dire : « il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme; car tous vous êtes un en Jésus-Christ » (Galates 3 :28). Jamais il n'a dit qu'il n'y a ni de blancs ni de noirs. Le concept de race n’était pas pertinent pour lui, car à cette époque, les relations, même de domination, -on se souviendra d’Onésime-, ne sont pas fondées sur les races. Jacques, le demi-frère de Christ se considérait comme son esclave (doulos en grec) (Jacques 1 :1). Une analyse de la récurrence montre en ce sens que, dans la Bible, les 57 fois que l’Ancien testament fait référence au terme race et les 15 fois que le Nouveau testament l’y emploie, elle n’était jamais associée à la couleur de la peau. C’est pourquoi, il faut reconnaître que la Bible dans son ensemble ni les évangiles en particulier ne peuvent faire l’objet d’une récupération en termes de race. Une telle conceptualisation s'avère aujourd'hui dangereuse et malsaine, l’objectif de l'AUTEUR PRINCIPAL n’étant pas de nous diviser mais de nous rassembler comme cette Église multiethnique décrite dans Actes 13 :1 qui comportait aussi des Noirs.

On a même montré que plusieurs croyants dans la Bible étaient des Noirs et ils s’inscrivaient dans une démarche de foi. L'histoire de la passion a-t-on vu s'est construit dans une collaboration avec un Noir. Pour ainsi dire, Dieu n’a jamais regardé les hommes à partir de leur couleur mais plutôt à partir de leur cœur. Il a donc créé la différence alors que l’homme, à travers ses discours racisés, a créé l’inégalité. Une théologie « Noire » ou une théologie « Blanche » ne peut donc que se servir de cadres interprétatifs qui segmentent la Parole et l’instrumentalisent à des fins idéologiques. La portée du message du Christ dépasse les clivages raciaux qui ne constituent qu’une distraction aux conséquences néfastes. Ce que Dieu veut c’est de ne nous rassembler au delà des catégories humaines socialement construites. Son projet n’a pas de couleur: Il nous regarde tous comme des êtres humains également imputables devant Lui.

Rédigé par Joseph Jr. Clorméus